Classement de la course |
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Classement | Equipe | Etape 1 | Etape 2 | Temps total |
1 | HINARAUREA EDT Tahiti | 03:09:36 | 03:23:25 | 06:33:01 |
2 | LA MEDUSE (La Seyne-sur-Mer) | 03:05:00 | 03:35:37 | 06:40:37 |
3 | AIR TAHITI NUI Polynésie | 03:11:01 | 03:46:30 | 06:57:31 |
4 | BELHARRA Pays Basque (Saint Jean-de-Luz) | 03:26:38 | 03:44:58 | 07:11:36 |
5 | SV VAULX EN VELIN (Lyon) | 03:30:40 | 03:45:39 | 07:16:19 |
6 | BAIE DE SOMME CK | 03:44:43 | 03:46:36 | 07:31:19 |
7 | AVIRON BAYONNAIS | 03:44:29 | 03:47:00 | 07:31:29 |
8 | VA’A HUI PAYS BASQUE (Anglet) | 03:41:06 | 03:54:38 | 07:35:44 |
9 | CK BRESTOIS 1 (Brest) | 04:05:35 | 03:49:25 | 07:55:00 |
10 | RHUAHATU VA’A (Toulon) | 04:13:16 | 03:47:48 | 08:01:04 |
11 | CKCL (Les Sables d’Olonne) | 04:01:44 | 03:59:39 | 08:01:23 |
12 | CK (Fontenay-le-Comte) | 04:06:08 | 04:25:58 | 08:32:06 |
13 | CKMNC B2S MULTICLUBS | 04:35:50 | 04:20:24 | 08:56:14 |
14 | MATAHIAPO (Marseille Valbonne) | 05:08:15 | 03:58:48 | 09:07:03 |
15 | HANDI’VISION | 04:29:10 | 04:46:32 | 09:15:42 |
16 | BAC CK (Sèvres Issy) | 04:43:23 | 04:34:31 | 09:17:54 |
17 | BREIZH POLYNESIA (Lorient) | 05:43:50 | 03:56:41 | 09:40:31 |
18 | CK BRESTOIS 2 (Brest) | 05:45:37 | 04:10:20 | 09:55:57 |
19 | MAÏ TAÏ TEAM (DAMES) | 05:22:19 | 04:59:40 | 10:21:59 |
20 | RHUAHATU VA’A (Toulon) | 07:27:30 | 04:23:16 | 11:50:46 |
21 | HOE VAHINE (DAMES) | 20:22:05 | 05:32:25 | 25:54:30 |
Historique Vendée Va’a 2015
6ème Edition du 14 au 16 mai
PROCÈS-VERBAL DE COMPÉTITION
Commission Nationale Océan Racing
COMPETITION :
Compétition« Vendée Va’a » (Les Sables d’Olonne)
Première Manche de Coupe de France Longue Distance Va’a 2015
Etape 1 : Les Sables d’Olonne, Ile d’Yeu (Plage du marais salé) course neutralisée en raison des conditions météorologiques sur la mi-course
Etape 2 : Annulée
Etape 3 : Les Sables d’Olonne, Brétignolles, Les Sables d’Olonne,
DATE : 14, 15 & 16/05/2015
CONDITIONS METEOROLOGIQUES :
Première journée : Basse mer à 7h57, hauteur d’eau de 1,35 m, pleine mer à 14 h 53, hauteur d’eau à 4,70 m, Coefficient de 71, température 11 à 14°C, vent annoncé entre 10 à 25 nœuds de secteur NW en fin de matinée. Houle donnée par la météo à 1,00 m à 10 h de secteur W, pouvant montée à 2,50 m en soirée.
Le suivi régulier sur plusieurs sites Météo marine et WindGURU maintenait des prévisions constantes sur les deux jours précédents. La décision pour le départ sur Yeu fut décidé pour 6 h 45 soit plus de 30 minutes après le levée du soleil pour permettre la sortie du port et l’alignement sur la bouée Nouch sud.
Deuxième journée : Basse mer à 8h10, hauteur d’eau de 1,05 m, pleine mer à 15 h 44, hauteur d’eau à 4,95 m, Coefficient de 83, température 11 à 17°C, le vent est de 40 à 15 nœuds de secteur NW, Houle de 3.00 m redescendant dans l’après midi à 1,50 m de secteur NW.
Troisième journée : Basse mer à 9h53, hauteur d’eau de 0,80 m, pleine mer à 16 h 30, hauteur d’eau à 5,15 m, Coefficient de 93, température 14 à 21°C, le vent est de 10 à 20 nœuds de secteur NW, Houle de 2,00 m à 1,50 m de secteur NW.
ORGANIGRAMME :
Responsabilité d’Organisation : Denys REMY, membre du CKCL, Président de l‘association VAPOVAYE, organisatrice du Vendée Va’a
Directeur de course : Philippe VALLEE
Responsable Sécurité : Vincent LE DUAULT
35 bateaux en sécurité de 6 m à 12 m, soit plus d’une centaine de personnes embarquées sur les bateaux suiveurs en plus des 126 compétiteurs sur l’eau
Moyens de communication entre les bateaux : VHF 25 W, téléphone
Contrôle des inscriptions : Natascha PARISET, Evelyne ALLAIN
Contrôle des bateaux : Juge Arbitre
Procédure de départ : Philippe VALLEE 1er départ, Claude GRELIER 2ème départ
Arrivée (chronométrage, contrôle) : Juge arbitre
DESCRIPTION DU PARCOURS :
Etape 1 (49 km) En réalité 29 km jusqu’à la neutralisation
Heure de départ : 6 h 45 Heure de neutralisation : 9 h 50 Temps de course à l’Ile d’Yeu de l’équipage en panne de VHF: 7 h 27 Classé 7ème
Départ en mer sur une ligne mouillée à coté de la bouée cardinale Nouch sud, après la descente du chenal et la sortie du port. Passage près du phare des Barges avec un pointage à la bouée cardinale sud « Petites barges » à laisser à Tribord et arrivée prévue sur la plage du Marais Salé (coté Est de l’Ile d’Yeu), après un passage devant la plage, dans une porte composée d’un voilier et d’une bouée jaune. La course à pied d’un équipier de la pirogue sur la plage jusqu’à une ligne matérialisée par deux flammes « Oasis » en haut de la plage sous un pavillon en tête de mat « FFCK Club », devait permettre la prise du temps de la manche. Les bateaux accompagnateurs devaient rejoindre l’intérieur de Port-Joinville et les pirogues, rangées sur la plage.
La course a été neutralisée à 9 h 50 par le Directeur de course, par appel VHF répétés pour les bateaux accompagnateurs de chaque pirogue. Les 15 dernières pirogues ont fait demi-tour en passant d’un cap ¾ avant, face aux vagues, au vent et au courant (avec risque de lever le flotteur), pour retourner en fuite, au surf et en appui sur le flotteur. Deux pirogues n’ont pas entendu les différents messages et ont poursuivi leur route. Les bateaux accompagnateurs des 4 autres pirogues ont bien entendu le message mais les coachs ont décidé de poursuivre vers l’Ile d’Yeu en vue (plus de la moitié du parcours effectué). Il est important de préciser que certains coachs ont prévenus l’équipage et d’autres pas ou beaucoup plus tardivement (1 à 4 h après).
Etape 2 (20 km) étape annulée
Etape 3 (40 km)
Heure de départ : 10 h 15 Heure d’arrivée : 13 h 38 (1er), 15 h 47 (dernier)
Le départ de la troisième étape a été donné sur la plage après la prière. Les barreurs étant sur la plage, sur une ligne de départ entre deux fanions, le départ est donné avec une vingtaine de mètres à parcourir sur le sable pour rejoindre le reste de l’équipage dans la pirogue. Passage près du phare des Barges avec un pointage à la bouée cardinale sud « Petites barges » à laisser à Tribord. Passage d’une bouée rouge avec un pointage devant Brétignolles puis retour sur les Sables d’Olonne, avec une bouée danger isolé à laisser à tribord pour rejoindre une bouée rouge au bout de la plage et remontée le long de la zone de bain pour passer une porte entre une bouée jaune et une sucette dans le chenal de la zone de bain pour une arrivée sur la plage. Cette deuxième étape avec tout le monde au départ, samedi, a permis de proposer une deuxième manche de 40 km avec un bord contre les vagues et un bord de retour en surf, dans des conditions plus clémentes avec une victoire finale d’EDT Tahiti devant la Méduse. EDT termine en 3h et 23 minutes avec en second La méduse en 3 h 35 minutes. Ensuite nous avons 6 équipages qui terminent en 3 minutes, ce qui démontre la progression des équipages, Air Tahiti terminant à la cinquième place.
Nombre d’embarcations engagées : 21 Nombre de Compétiteurs : 188
19 équipes masculines dont deux Tahitiennes Electricité de Tahiti (GDF SUEZ) et Air Tahiti Nui et deux équipes féminines
200 bénévoles au moins à l’organisation
EVALUATION DE LA MANIFESTATION :
Je voudrais féliciter l’organisation de cette manifestation, pour la capacité d’adaptation, lorsque la météorologie forcissant au-delà du prévisionnel, le Directeur de course a neutralisé la course. Malgré la vigilance et le suivi heure par heure des bulletins météo de plusieurs sites reconnus par le milieu marin, un départ a été donné à 6 h 45 du matin (au lieu de 9 h) pour éviter la dépression (parcours de 50 km entre Les Sables d’Olonne et l’Ile d’Yeu). Devant une houle de 2 m 50 au lieu du 1 m annoncé, le Directeur de Course a annoncé la neutralisation de la course à 9h50 en proposant un retour au portant aux Sables. Un classement a pu être effectué grâce aux balises satellite fixées sur les 21 pirogues au départ ce qui donne la victoire du Club de la Méduse (La Seyne/mer) devant deux équipages Tahitiens (Electricité de Tahiti et Air Tahiti Nui). Il faut préciser qu’une porte avait été préparée au-delà de Saint Gilles Croix de vie, avait été annoncée au Briefing comme une arrivée possible en fonction de l’avancée de la dépression mais aucune embarcation n’était arrivée à ce niveau. Décaler une ligne perpendiculaire à la route vers le sud était une solution qui risquait de disqualifier des équipages. La descendre au dernier entrainait un temps de course de l’ordre d’une heure et non représentative de cette course. En tant que Juge Fédéral, j’ai proposé de définir la distance parcourue par le premier jusqu’à l’heure de neutralisation. Ensuite, en divisant la distance par la vitesse moyenne recalculée sur la ligne droite de chaque embarcation, nous avons obtenu un temps fictif de chaque équipage pour atteindre une distance équivalente. Cette proposition a été voté à la majorité des chefs d’équipe plutôt que d’annuler la course ou de classer à partir de distance parcouru par le dernier.
Plusieurs pirogues neuves ont éclaté les flotteurs (2 de chez Idoine et 1 Va’a factory) ce qui devient très compliqué pour le remorquage. La tête de la course a continué sur la l’Ile d’Yeu et les quinze dernières pirogues avec leur bateau accompagnateur sont rentrées en surf aux Sables. L’organisateur a mis un véritable tour de force pour le relogement et la nourriture de ces compétiteurs sur le continent, prendre en compte le fait que certains logements sur l’Ile ne seraient pas utilisés, gérer le rapatriement de 3 pirogues par ferry sur Fromentine le vendredi, trouver 100 places sur la navette de Saint Gilles pour rapatrier des compétiteurs et des bénévoles et organiser le retour d’un certains nombre de bateaux à moteur jusqu’aux Sables, en convoi par 3 m de houle. Trois pirogues ont été laissées en pleine mer pour rapatrier en priorité des compétiteurs pris en hypothermie (7 à 8 h de mer pour certains), soit pour la réparation d’un flotteur en pleine mer avec 2,50 m de vague, soit lors du remorquage de la pirogue en pleine mer. Ceci a entrainé le passage de 6 compétiteurs au Centre médical de l’Ile dont un qui a été gardé pour la nuit en raison d’une température corporelle trop faible. Ce compétiteur tahitien a couru la dernière manche et a remporté la victoire. L’organisateur a trouvé trois pirogues de remplacement pour la dernière manche, pour les trois équipages des pirogues perdues.
Une équipe, l’aviron bayonnais a terminé la course en 7 h 27, son bateau suiveur n’ayant pas reçu les multiples messages du Directeur de course. L’état de forme m’a impressionné mais ils étaient bien équipés. Ils étaient 7ème à la neutralisation de la course.
On remarque que l’absence de mousse à la fois dans les caissons « étanches » et dans le flotteur (Ama), rend difficile les interventions lorsque l’eau remplie l’un de ces compartiments, en particulier le flotteur. L’absence de flottabilité supplémentaire fait que ces pirogues sont envahies par l’eau et en cas de défaut d’étanchéité des caissons, elles peuvent couler. La pirogue du Vidourle (équipe féminine) est restée en mer face à l’hypothermie qui guettait les rameuses pendant le remorquage de la pirogue, le message de neutralisation de course n’ayant aussi pas été entendu par le bateau suiveur. La capitaine a pris la bonne décision de ramener toutes les personnes au port en priorité. Le caisson arrière s’est rempli d’eau mais la pirogue est restée suspendue au flotteur avant. Le flotteur et la coque sont revenus séparés, sur la plage par le vent et la houle sans aucun dégât. La balise GPS de l’organisateur, la montre GPS d’une équipière ainsi que tous les sachets de nourriture et gels énergétiques étaient encore à poste. Une autre pirogue a rejoint la plage sans encombre.
Les pompes électriques sont toutes tombées en panne et le déjupage pour écoper a parfois plus rempli que vider. Des bateaux sont encore équipés de velcro pour la pose des jupes et les jupes équipées de fermeture éclair sont rarement étanches. La vidange de l’eau dans le bateau reste la priorité et les systèmes de pompes à pied ou de pompes à main restent les plus performants. Ecoper en mer forte reste problématique sachant que deux équipiers ont été pris de mal de mer dans ce type d’exercice.
Nous devons revoir le plan de communication pour les portées de VHF et la couverture téléphonique. Nous avions évoqué, il y a trois ans en 2012, le problème de la communication par VHF ce qui impose au Directeur de course d’être sur un bateau avec une antenne haute ou prévoir une couverture VHF par un ou deux voilier en 25W avec une antenne en tête de mat. Une personne à terre aurait pu aussi, appeler par téléphone, chaque pilote de bateau à moteur (à condition d’entendre la sonnerie avec le bruit du moteur et les conditions extérieures). En effet certains bateaux n’ont pas de cabine.
LES BRIEFINGS :
Pour la première soirée du mercredi, il ya eu tout d’abord un briefing avec tous les pilotes des bateaux à moteurs d’accompagnement de course pendant que les équipes défilaient dans les rues des Sables d’Olonne avec une pancarte annonçant l’origine de l’équipage. A la suite, un briefing des équipages a été effectué dans l’auditorium avec projection des cartes de parcours, des cartes météos et enfin un repas dans la grande salle pour les équipages et les bénévoles. La deuxième soirée pour ma part, sur l’Ile d’Yeu, s’est effectuée avec un repas sous un chapiteau au sein de la Citadelle de l’Ile d’Yeu pendant que la plus grande partie des équipes était sur le continent. La troisième soirée le vendredi, s’est effectuée avec des discours politiques en raison de la présence du Président de la Polynésie Française, de députés et du Maire des Sables d’Olonne. Un Briefing avait été organisé avec seulement, tous les Chefs d’équipes pour préciser les règles du lendemain et prendre les décisions de classement.
Enfin la remise des prix a été proclammée le samedi dans l’auditorium devant plus de 800 personnes avec des images des courses sur grand écran, la montée de tous les équipages sur l’estrade et les récompenses. La remise des prix s’est faite en présence, de Doris HART, Vice Présidente de la Fédération Internationale de Va’a et Présidente de la Fédération Tahitienne de Va’a et, les élus locaux (Le Député, le Conseiller Général, le Maire des Sables d’Olonne) et le Président de la FFCK Vincent HOHLER. Plusieurs récompenses ont remises comme le trophée féminin, le trophée de la combativité, le trophée des Sables d’Olonne calculé au passage de la bouée cardinale sud des Petites barges, le podium des premiers équipages et le prix d’Air Tahiti Nui pour le premier équipage métropolitain (billet du voyage de 9 équipiers pour l’HAWAIKI NUI). Enfin une soirée dans laquelle, organisateurs, bénévoles et compétiteurs se sont retrouvés dans la Salle des Atlantes pour un repas et une soirée dansante.
L’arrivée sur l’Ile d’Yeu comme celle des Sables d’Olonne sont magiques avec une forte présence de spectateurs, rarement égalée dans le monde du Canoë Kayak. Cette sixième édition montre une organisation de très haute qualité. L’organisation logistique pour la restauration et les hébergements est impressionnante. La soirée de gala est aussi une très belle réussite pour cette manifestation.
Nous avons eu les honneurs de TFI sur le journal de Claire CHAZAL sur TFI, samedi 16/05 à 13 h).
ANALYSE DU JUGE ARBITRE SUR LE REGLEMENT ET LE MATERIEL :
Nous continuons à voir des jupes fixées avec des velcros, des jupes en toile fine non étanches ou avec des fermetures éclair qui laissent remplir les pirogues pendant la course. L’équipe d’EDT était déjà à ecoper après 3 km de course. Au contraire, certains équipages sont équipés de jupes en néoprène pour chaque équipier.
Les pompes à pied ou pompe à main (mécaniques) ou même électriques ne sont pas interdites pour vider la pirogue sans avoir à déjuper. Toutefois, Je m’interroge sur les pompes électriques soit avec des piles, soit avec des batteries (la batterie était dans une boite plastique). En cas de chavirage, le développement durable est bien limite et nous avons l’apport d’une énergie extérieure. Est-ce que l’apparition d’un panneau solaire pourrait servir de voile ?
Je proposerais l’interdiction des pompes électriques (énergie apportée obligatoirement par un des équipiers).
Enfin la prise en compte de cette compétition comme manche de la Coupe de France Longue Distance Va’a doit imposer un rapprochement des règlements des différentes compétitions de ce classement. Je propose une réunion téléphonique organisée par la Commission Nationale Océan Racing pour en discuter.
Doit-on ouvrir un classement équipage mixte ?
Que faut-il proposer pour les équipages féminins ?
L’organisation a équipé chaque pirogue d’une balise repérable par satellite, permettant à tous de suivre sur Internet, les vitesses et les routes de chaque pirogue. Il semble que toutes les balises aient bien fonctionné et que le replay à la fin de la course soit possible.
Je propose que tous les bateaux suiveurs restent derrière la dernière pirogue dans la première demi heure de chaque manche.
Le bateau du Directeur de course doit être équipé d’une antenne VHF haute pour avoir la possibilité de communiquer avec tous les bateaux accompagnateurs et celui du Juge Arbitre ainsi que les deux bateaux presse.
Enfin dernière question, ce type de course doit-elle ouverte à tous ?
CONCLUSION :
Bravo pour cette organisation de très grande qualité et un coup de chapeau à toute l’équipe de bénévoles (plus de deux cent personnes) et pour cette capacité d’adaptation devant les aléas climatiques.
Toutes mes félicitations au Chef d’Orchestre qu’est Denys REMY pour cette compétition et pour la promotion du Va’a en métropole.
Bravo aussi à Philippe VALLEE pour avoir pris la bonne décision, au bon moment, devant l’évolution météorologique.
Mes félicitations aussi aux compétiteurs qui ont fait réellement progresser la discipline avec 6 équipages en trois minutes pour l’arrivée de la deuxième manche.